14 mars 2016

Le test des 3 filtres

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Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passé sa vie à étudier le Coran et les paroles du Prophète et il était très pieux.


Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.


Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver :

_As-salamou alaykoum !

_Wa alaykoum as-salam wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

_Sais-tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ? poursuivit le voisin.

_Attends un peu, répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

_Des trois filtres ? s’étonna le voisin.

_Exactement, poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu comptes me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt ?

_Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. (En effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions).

_Commençons, dit le savant. Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ?

_Non, répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et…

_Bien, dit le savant. Donc, tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?

_Euh, non, au contraire…

_Ah, poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile ?

_Euh bien…non, pas vraiment.

_Alors, conclut le savant, si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, tu ne crois pas ? Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite. Alors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres ! Cela t’évitera certainement des péchés. Allah nous dit dans le Coran :


"Ô vous qui croyez ! Ne vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là. Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là. Ne vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux. Quel vilain mot que " perversion ", quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes." (Sourate 49, verset 11)


Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant. Depuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles, et en demandant à ceux qui voulaient lui raconter quelque chose :


_Attends un peu, ce que tu vas me dire, est-ce que c’est vrai ? est-ce que c’est bien ? est-ce que c’est utile ?.

 

Et c’est ainsi que cet homme, dont les gens avaient l’habitude de se méfier à cause de sa mauvaise langue, devint aimé et respecté de tous…

Posté par Assya Hayati à 18:16 - - Permalien [#]

Sabeth et la pomme

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Un homme nommé Sabeth marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse, et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de faire cela, et se blâme d'avoir mangé la moitié de cette pomme. A ce moment survient le jardinier, et Sabeth lui dit :
" Je vous demande pardon, pour la moitié que j'ai mangé ; tenez, je vous rends ce qui reste de la pomme. "


Le jardinier dit : " Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon. "
" Qui est le propriétaire alors ? " demanda Sabeth.


Le jardinier lui montre sa maison. Sabeth va le voir et lui raconte ce qui s'est passé.
Le propriétaire dit : " Je vous pardonne à une seule condition. Si vous l'acceptez vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui qui veille tout le temps et qui n'oublie rien. "


Sabeth se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.
" Quelle est cette condition ? " Demanda t-il.

- " Je veux vous donner ma fille en mariage." Répondit le propriétaire.

" Est ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement. "

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : " Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle ; sourde ; muette ; handicapé. " " Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher. Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pouvez bénéficier de mon pardon. "

Sabeth réfléchit longuement, la tête baissée. Puis dit : " Je l'épouserai. Et maintenant pardonnez moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant. "

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage. Le père de la fille dit : " Je vous ai préparé une chambre dans ma maison. "

Ensuite il introduit sa fille dans la chambre et Sabeth entre a son tour. Et il la voit assise, il lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam.
Son père avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapé. Or elle répond à son salut, puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapé.
Il lui dit : " Expliquez moi ! Je ne trouve rien en vous de ce que votre père m'avait raconté."

Elle lui répond : " Mon père ne vous a pas menti : "

" Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. "
[Et dis aux croyantes de baisser leurs regards [...]] ( Sourate 24. verset 31)

 

" Il vous a dit également que j'étais sourde et effectivement ; mes oreilles n'ont jamais entendu une médisance, ni une diffamation, ni une frivolité, ni une futilité. "
[Ceux qui ne donnent pas de faux témoignages; et qui, lorsqu'ils passent auprès d'une frivolité, s'en écartent noblement] ( Sourate25. verset 72)


" Il vous à dit que j'étais muette et effectivement ; Je n'ai jamais prononcé une parole susceptible de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de ma vocation de Dieu. "
[Ô vous qui croyez! Craignez Allah et parlez avec droiture. afin qu'Il améliore vos actions et vous pardonne vos péchés. Quiconque obéit à Allah et à Son messager obtient certes une grande réussite.] ( Sourate 33. verset 70-71)


Il vous a dit que j'étais handicapé et effectivement ; Je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes oeuvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité. "


Sabeth la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante.
Savez-vous quel fils Dieu leur a donné ? Il a donné naissance au grand imam, Abou hannifa.


La bonne terre fournit une bonne récolte par la permission de Dieu, et la terre ingrate ne donne que peu de récolte Cet exemple montre que l'Islam ne court pas après les apparences et la tromperie, mais s'attache aux valeurs, aux idéaux et à la moralité.

Posté par Assya Hayati à 18:12 - - Permalien [#]

L'homme qui se plaignait de la pauvreté

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Un jour, un homme est venu se plaindre auprès d'un cheikh de son extrême pauvreté. Le pauvre homme lui raconta combien il était dans une grande détresse et à quel point il préférerait la mort à une telle vie.


Ce pauvre homme acceptait mal sa situation et semblait être prêt à accepter n'importe quoi pour rémedier à ce grand problème.


Le cheikh : « Voudrais-tu échanger tes yeux contre cent mille euros? »
Le pauvre : « Certainement pas. Et que ferais-tu de mes yeux de toute façon ? »
Le cheikh : « Cela ne te regarde en rien ! Tu as besoin d'argent alors je te propose : accepte ou refuse mais épargne moi tes questions ! Voudrais-tu échanger ta langue contre cent mille euros ? »
Le pauvre : « Naturellement pas. »
Le cheikh : « Serais-tu d'accord d'avoir tes mains et pieds coupés en échange de cent mille euros. »
Le pauvre : « Non plus ! »
Le cheikh : « Serais-tu prêt à perdre l'esprit en échange de cent mille euros ? »
Le pauvre : « Je refuserais, c'est évident ! Qui accepterait !? »
Le cheikh : « Je te propose alors cent mille euros pour tes oreilles, ça te dit ? »
Le pauvre : « Je ne vois aucune pertinence dans tes questions, cela n'a aucun sens! Une chose est certaine : je n'échangerai tout cela pour rien au monde ! »


À ceci, le cheikh répondit :
« N'as-tu pas honte de toi-même ? Tu admets qu'Allah t'a accordé tant de cadeaux précieux, dont la valeur selon ta propre évaluation, excède cinq cent mille euros et tu oses te plaindre de la pauvreté ! »

Posté par Assya Hayati à 18:07 - - Permalien [#]

L'étranger malveillant

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Quelques mois avant ma naissance , mon père rencontra un étranger qui était nouveau dans notre petite ville. Au début , Papa était fasciné par ce charmant nouveau venu et l'invita bientôt à vivre dans notre famille. 

L'étranger a rapidement accepté et était parmi ceux qui m'ont accueillie à ma naissance (ou à ma venue au monde) quelques mois plus tard . En grandissant je n'ai jamais contesté sa place dans notre famille.

Dans mon jeune esprit chaque membre avait une place spéciale.

Youssouf, 5 ans mon aîné était mon modèle, Samia, ma petite soeur m'a donné l'occasion de jouer au grand frère et de développer l'art de taquiner. Mes parents étaient des éducateurs complémentaires.

Maman m' enseigna à aimer Allah et mon père, la manière de Lui obéir. Mais l'étranger était notre compteur d'histoires. Il pouvait tisser les histoires les plus fascinantes. Des aventures, mystères et comédies étaient nos conversation quotidiennes. Il pouvait tenir en haleine toute notre famille pendant des heures chaque soir.

Si je voulais connaître la politique, l'histoire ou la science, il savait tout. Il connaissait le passé et semblait comprendre le présent. Les images qu'il dessinait, étaient si réelles que pouvait en rire ou pleurer, quand jeles regardais. Il semblait être l'ami de toute la famille .

Il nous encourageait toujours à regarder les films et même s'arrangeait pour nous présenter plusieurs personnages célèbres.

C'était un orateur infatigable. Papa ne faisait pas attention maisquelquefois maman se levait tranquillement pendant que nous étions pris par une des histoires venues de loin, et allait dans sa chambre lire le Coran .

Je me demande si elle n'a jamais prié pour que l'étranger parte. Tu vois, mon père dirigeait sa famille avec certains principes moraux. Mais l'étranger ne s'est jamais senti obligé de les respecter.

Par exemple le blasphème nous était interdit de la part de nos amis et des adultes. Mais notre visiteur d'entant avait l'habitude d'utiliser des mots qui me brûlaient les oreilles et donner des convulsions à (énervait) papa.

A ma connaissance n'a jamais été affronté. Mon papa ne buvait pas et n'a pas permis l'alcool à la maison même pour cuisiner.

Mais l'étranger avait envie de nous exposer et de nous montrer d'autres manières de vivre. Il nous montrait la bière et d'autres boissons alcoolisées, il nous montrait aussi que les cigarettes étaient cool , les cigares et les pipes distinguées. Il parlait trop librement des femmes, ses
commentaires étaient quelquefois flagrants, quelquefois suggestifs et même embarrassants.

Je sais maintenant que ma 1ère conception de la relation homme - femme était influencée par l'étranger. Quand je regarde en arrière, je crois que par la Miséricorde d'Allah que l'étranger ne nous a pas plus influencé. Il s'opposait aux valeurs de mes parents. Il était rarement grondé et on lui a jamais demandé de partir. Plus de 30 ans après l'étranger se déplaçait avec la jeune famille...

Il n'intéressait plus autant mon père comme au début. Mais si j'entrait dans la chambre de mes parents aujourd'hui, vous le verriez toujours assis dans un coin, attendant que quelqu'un l'écoute parler et regarder ses images.

Son nom vous me demanderez ?


Nous l'appelions télévision.

Posté par Assya Hayati à 18:03 - - Permalien [#]

Les 2 frères

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Il y avait 2 frères qui vivaient dans la même maison, l'un à l'étage et l'autre au rez de chaussée.


Celui du bas vivait dans la crainte de Dieu, et ne commettait pas de péchés. Contrairement a celui de haut, qui vivait dans la luxure et la débauche.
Son argent venait du Haram, et il était très riche.
Celui du bas priait nuit et jour pour qu'Allah guide son frère. Jusqu'au jour où un ami, lui dit:
"Pourquoi pries-tu?"

Il répondit: " pour mon frère".

"Et Alors, a-t-il changé par tes prières?" continua son ami.


"Non, il n'a jamais changé".

Cette discussion le fit réfléchir, et il se dit que ses prières ne servaient a rien.
"J'ai rien gagné, mon frère vit dans le luxe et s'amuse, moi aussi je vais me mettre dans le business et m'éclater !"


Au même moment, le frère du haut, se dit : "J'en ai marre d'être toujours bourré, de sentir mauvais, d'avoir de l'argent sale, je vais désormais faire comme mon frère, car la vie que je mène, c'est pas une bonne vie."


Le frère du bas montât voir son frère qui lui descendit pour la même raison.
Les deux frères dans les escaliers rencontrèrent Azrail, l'Ange de la mort. Il prit leur âmes.


Dieu nous juge par nos intentions. Il y a des gens qui font le bien toute leur vie, et avant de mourir, il font une chose qui les met en enfer. Par contre, il y a des gens qui font des mauvaises actions toute leur vie, et avant de mourir il font une chose qui les met au Paradis. Sobhan'Allah!

Posté par Assya Hayati à 17:59 - - Permalien [#]

Les 3 questions

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C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années.

De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.


Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?


Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah (si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.


Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement.


Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).


Jeune homme: J'ai 3 questions:
1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme.
2. Qu'est- ce que le takdir (destiné) ?
3. Si le chaitan (Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu. Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ?


Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.


Jeune homme (douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi ?


Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.


Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.


Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?


Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr.


Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?


Jeune homme: Oui.


Savant: Montre moi la forme de la douleur !


Jeune homme: Je ne peux pas.


Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme. La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?


Jeune homme: Non.


Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?


Jeune homme: Non.


Savant: C'est ce que le takdir (destiné).


Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?


Jeune homme: Elle a été créé de peau.


Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?


Jeune homme: De peau.


Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?


Jeune homme: Douloureux.


Savant: Même si chaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insha-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan.

Posté par Assya Hayati à 17:48 - - Permalien [#]

Le vieil homme qui cherchait sa place

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Un jour, dans une gare, alors que le train s'apprêter à partir, après que tous les voyageurs eurent gagnés leurs places, un Vieil homme réussi au dernier moment à monter juste avant la fermeture des portes.

Sur son visage éclatant apparaissait une grande sagesse et une bonté infinie bordé de clémence et de tendresse.
Ce vieil homme heureux d'avoir pu rattraper le train cherchait maintenant une place pour s'asseoir.

Dans la première cabine, il trouva des jeunes enfants qui certes étaient très heureux de le voir car il avait une bonne tête comme ils disent, mais quand il leur demanda s'il pouvait s'asseoir avec eux, ils lui répondirent :

"Nous serions heureux de vous accueillir parmi nous mais vous savez, nous sommes des enfants et nous ne pensons qu'à jouer et s'amuser, on craint que nos cris et nos rires ne vous dérangent, mais allez à la prochaine cabine, nous sommes sur que vous trouverez une bonne compagnie"



Alors le vieil homme suivie le conseil des enfants et alla à la prochaine cabine, où il trouva trois jeunes hommes. Sûrement des étudiants en train de préparer leurs examens, car ils ne parlaient que de fonctions et de graphes tout en tenant leurs calculatrices dernier cris dans la main.
Il les salua et leur demanda la permission de prendre le siège vide.

Les jeunes été très contents de le voir car il leur rappelait leurs grand-père et comme ils disent, il avait l'air d'être cool et sympathique, mais ils répondirent :

"Ô, vieil homme nous aurions été heureux de partager avec toi notre cabine mais comme vous le voyez nous sommes en pleine révision et nous craignons que nos longues discussions de math et de physique ne vous ennuie, allez plutôt voir à la prochaine cabine nous sommes sur que vous y trouverez une bonne place"



De ce pas, le vieil homme alla à la prochaine cabine. Il y trouva un jeune couple ce tenant par la main et s'échangeant des regards complices.
Le vieil homme les salua et leur demanda s'il pouvait prendre l'un des deux sièges libre de leur cabine, ils lui répondirent :

"Ô, vieil homme nous aurions été ravi de faire le voyage avec vous mais comme vous le voyez nous sommes un jeune couple qui vient de se marier et nous sommes en lune de miel et nous préférons restez tranquille, mais je suis sur que vous trouverez une bonne place dans la cabine suivante"



Le vieil homme continua donc son périple jusqu'à la prochaine cabine ou il trouva un groupe d'hommes d'une trentaine d'années, téléphone à la main et ordinateur portable sur les genoux échangeant entre eux les dernières cotations boursières.
Il les salua et demanda si il pouvait se joindre à eux mais ils lui répondirent :

"Nous serions heureux de profiter de ta compagnie et de ta sagesse mais nous sommes trop occupés à gérer nos actions et nos projets et parfois nos voix s'élèvent et nous ne voudrions pas vous déranger ; allez plutôt voir la cabine d'à coté, ils nous semblent avoir vu des gens sympathique tout comme vous"



Alors le vieil homme alla vers cette cabine et là effectivement il vit une famille fort sympathique, composée du papa, de la maman et de leurs deux enfants. Il les salua et leur demanda s'il pouvait faire le reste du voyage avec eux et là ils lui répondirent :

"Quel honneur et quelle chance nous avons de pouvoir partager notre cabine avec un sage comme vous, bien sur, venez vous asseoir près de nous, nous sommes sur que vous avez plein de chose à nous apprendre"

 

Et là le père demanda à ses enfants :

"Lève toi mon fils Ahmad s'il te plait et va sur les genoux de ta chère maman, et toi ma petite Wafa viens sur mes genoux pour laisser la place à ce brave homme"



Et là le vieil homme pu enfin s'asseoir et partager un agréable moment avec cette famille.
Cette famille profita donc de la précieuse compagnie de ce vieil homme et de ces connaissances pour lui demander de les aider à comprendre les choses de la vie et répondre à toutes leurs interrogations sur leur appartenance et sur leur destinée.
Ainsi que toutes les questions existentielles que peut se poser un être humain aujourd'hui .

Grâce à sa grande sagesse il pu apporter une réponse convaincante à chacune de leurs interrogations et les rassurer sur leur avenir et l'avenir de leurs enfants en leur garantissant que si ils suivaient tous ses conseils, ils seraient à jamais une famille comblée et heureuse.

Le train arriva à l'heure à son terminus. La gare était noire de monde avec des décorations partout et des gardes en uniforme dans tous les coins. Le sol était tapissé jusqu'à l'horizon d'un tapis d'une valeur inestimable et les murs recouverts de pierres précieuses et tissus de grande valeur.

Les voyageurs n'en revenaient pas, ils croyaient rêver mais c'était bien la réalité.

A ce moment là un des officiers monta à bord du train, et ordonna à tout le monde de ne pas bouger.
Il se mit à chercher dans toutes les cabines le vieil homme, et bien sur il le trouva dans celle de la famille qui l'avait si bien accueilli.

Et l'officier dit :

"Ô vieil homme, le Maître m'envoie te chercher pour te ramener près de lui"



Les passagers restèrent ébahis par ce qu'il voyaient. Ils se demandaient : tout ça pour ce vieil homme ?? Mais qui est-il donc ?

Et le vieil homme répondit :

"Comme je te l'ai promis cher garde, le voyage est fini et je te suis avec plaisir mais à condition que cette famille qui m'a accepté viennent avec nous"



et l'officier répondit :

"Oui Ô brave homme ! de grandes récompenses vous attendent, vous et tous ceux qui vous ont suivi"



Le vieil homme et la famille se levèrent donc, et descendirent du train pour monter dans une voiture luxueuse qui les emmena vers un avenir prometteur pendant que les passagers qui avaient refusé la compagnie du vieil homme se mordaient les doigts en disant : pourquoi n'avons-nous pas accepté cette homme ; pourquoi avons-nous été si égoïste!!

Malheureusement il était trop tard.

Vous l'avez sans doute compris, le vieil homme n'était en réalité que la religion de Dieu, qu'Il a envoyé pour nous accompagner durant ce voyage nommé dounia (la vie).

Il ne tient qu'à nous de l'accepter durant notre voyage afin que la religion soit notre salut le jour où notre voyage sur terre se terminera, et témoignera pour nous que nous l'avons suivis...

Posté par Assya Hayati à 17:44 - - Permalien [#]

13 mars 2016

La jeunesse de l'imam Malik

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Voici l'histoire édifiante attribuée à l’Imâm Mâlik Ibn Dînâr -(qu’Allâh lui fasse Miséricorde) :


« J'ai commencé ma vie, égaré, porté sur le vin et enclin à commettre tous les actes de désobéissances.
Je pratiquais l'usure, j'agressais les gens et je commettais tous les péchés possibles.
Les gens m'évitaient à cause de mon comportement.
Cependant un jour j'ai voulu me marier et avoir une fille.
De ce fait je me suis marié, et j'ai eu une fille à qui j'ai donné le nom de Fatima.
Je l'ai aimé d'un grand amour.
A chaque fois qu'elle grandissait, la foi augmentait dans mon cœur et le péché y diminuait.
Parfois en me voyant tenir un verre de vin dans ma main elle s'approchait de moi et me le renversait alors qu'elle n'avait que 2 ans.
C’était comme si Allah lui inspiré de faire cela.
Plus Fatima grandissait plus ma foi augmentait et plus je m'éloignais du péché.
Mais lorsque Fatima atteignit l'âge de trois ans elle mourut -qu’Allâh lui fasse Miséricorde-.
Je suis alors devenu pire que je ne l'étais, je n'avais pas la patience des croyants qui pouvait m'aider à supporter cette épreuve.
Mon comportement est devenu pire qu'avant, et le diable s'est joué de moi comme il a voulu.
Un jour il (le diable) m'a suggéré de m'enivrer comme je ne l'avais jamais fait auparavant.
J'ai pris alors du vin et je n'ai cessé d'en boire toute la nuit au point que je voyais toutes sortes de rêves.
C'est alors que j'ai eu cette vision :
Je me suis vu le jour de la Résurrection, alors que le soleil a disparu que les mers ce sont transformée en feu et que la terre avait tremblé violemment.
Les gens étaient rassemblés pour le jugement dernier.
Ils formaient des groupes et des groupes et moi j'étais au milieu d'eux.


C'est alors que j'ai entendu un homme crier :
« Ô toi vient passer en jugement devant le tout puissant. »


J'ai vu le visage de cet homme devenir noir de peur.
Tout à coup le monde s'est caché à ma vue, et il ne resta personne à l'endroit du jugement.
Ensuite j'ai vu un gros serpent terrifiant venir vers moi la bouche ouverte.
Je me suis sauvé à sa vue et j'ai couru autant que j'ai pu pousser par la peur.


J'ai rencontré sur mon chemin un vieillard frêle et je lui ai dit :
« Sauve-moi de ce serpent ! »


Il m'a répondu :
« Ô mon fils je suis très faible et je ne peux rien pour toi, va cependant dans cette direction, peut être que tu pourras lui échapper. »


J'ai suivi son conseil et j'ai pris la direction indiquée, poursuivit par le serpent.
Mais j'ai trouvé devant moi un grand feu.


Je me suis alors dit :
« J'échappe au serpent, pour tomber dans le feu ? »


Je suis revenu en courant, tandis que le serpent se rapprochait de moi, et j'ai trouvé le vieillard frêle qui m'avait indiquait cette direction.


Je lui ai dit :
« Je t'adjure devant Allah aide moi. »


Il pleura alors de compassion à la vue de mon état et me dit :
« Je suis faible comme tu le vois et je ne peux rien pour toi, va cependant du coté de cette montagne peut être que tu pourras lui échapper. »


J'ai suivi son conseil et j'ai couru vers la montagne alors que le serpent était sur le point de m'attraper.


En montant au sommet de la montagne j'ai vu des petits enfants qui en me voyant se mirent à crier :
« Ô Fatima rejoint ton père, rejoint ton père ! »


J'ai su alors qu'il s'agissait de ma fille.
Je me suis alors réjoui donc d'avoir une fille qui est morte à l'âge de trois ans, et qui vient pour me sauver de cette situation.
Elle m'a pris alors par sa main droite, et a repoussé le serpent par sa main gauche tandis que j'étais comme un mort tellement j'avais peur.


Ensuite, elle s'est mise sur mes genoux, comme elle le faisait dans le bas monde en me disant :
« O père le moment n'est il pas venu pour les cœurs des croyants de s'humilier en entendant le rappel d'Allah ? »


J'ai dis alors :
« O ma fille qui est ce serpent ? »


Elle m'a dit :
« Ce sont tes mauvaises actions père tu les as engraissées et fait grossir jusqu'a qu'elles ont failli te dévorer, ne sais tu pas, père que les mauvaises actions de ce monde se matérialisent le jour de la Résurrection ? »


J'ai dit :
« Et le vieillard frêle ? »


Elle m'a répondu :
« Ce sont tes bonnes actions, tu l'as affaibli et rendu frêle jusqu'a ce qu'il a pleuré devant ton état en ne pouvant pas te venir en aide. Si tu ne m’avais pas enfanté et si je n'étais pas morte en bas âge rien ne t'aurai sauvé de ce serpent. »


J'ai entendu :
« Le moment n'est il pas venu pour les cœurs des croyants de s'humilier en entendant le Rappel d'Allah »
(Sourate 57, verset 16)
Je me suis réveillé alors en criant :
« Oui le moment est venu Seigneur ! Oui le moment est venu Seigneur ! ». »


Après cette vision Mâlik Ibn Dînâr -qu’Allâh lui fasse Miséricorde- se réveilla terrorisé suite à quoi, il prit la décision ferme de se repentir. Il devint ainsi parmi les plus grands vertueux savants de cette communauté.


Qu'Allah nous accorde à toutes et tous le repentir général
Amîne

Posté par Assya Hayati à 23:47 - - Permalien [#]

10 mars 2016

La valeur du temps

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Dieu nous a donné la vie, le temps et la réflexion. Chacun d’entre nous est libre d’investir ce capital comme il l’entend.

On raconte qu’un modeste pêcheur tira un jour de l’eau un gros poisson.

Revenu chez lui, il découvrit dans le ventre de l’animal un joyau extraordinaire. Il alla chez un riche commerçant et lui proposa d’échanger sa découverte contre quelque argent. Le marchand, qui était honnête, lui dit après avoir examiné la magnifique perle : « Même si je te donnais tout ce que je possède, je ne pourrais payer le trésor que tu as trouvé ! Va plutôt voir le Roi ! »


Le pêcheur fut introduit auprès du roi et lui proposa le joyau. Ce dernier lui dit : « Le bien dont tu disposes est inestimable. J’ouvrirai pour toi mes coffres pendant une demi-journée, six heures exactement. Tu seras libre de prendre ce que tu veux en échange du joyau que tu as trouvé ! »
L’homme entra dans la salle des coffres et des trésors du roi, et il fut ébloui.

Dans une pièce, il y avait de la nourriture en grande quantité, composés des mets les plus exquis et des boissons les plus délicieuses. Dans une autre salle, il y avait des lits moelleux bordés de soie et de velours. Dans un autre espace enfin, il y avait de l’or, de l’argent et des perles en grande quantité.


« Une demi-journée, pensa-t-il en se frottant le ventre, c’est bien plus qu’il n’en faut pour emporter ce qui assurera ma subsistance le reste de mes jours. » Il choisit donc de commencer par passer à table, et fit bonne chère. »


L’envie de faire un bon somme suivit. « Une petite sieste est bienvenue, décida-t-il en bâillant, et j’aurai d’autant plus de force pour ramasser à la pelle tout ce dont j’aurai besoin. » Il s’assoupit le sourire aux lèvres, emporté par ses rêves de possession !


« Holà !, lui cria-t-on soudain à l’oreille, lève-toi, paresseux ! La sixième heure est passée ! » C’est par cette annonce qu’il fut douloureusement réveillé. Il supplia qu’on lui accordât quelques minutes afin de ramasser quelque chose.
« Sors de là, imbécile, ton heure est venue ! »


Et le malheureux pêcheur fut expulsé du palais les mains vides !


Voici à présent le sens de ce conte : le joyau, c’est l’âme de tout être humain, dont le prix est inestimable. La salle des nourritures correspond aux plaisirs de la vie, et celle du sommeil à l’inconscience et la négligence. Les pièces d’or et les perles sont les bonnes actions que l’on emporte dans l’au-delà. Lorsque la mort arrive, beaucoup d’hommes sont surpris, alors qu’elle est inéluctable. Et beaucoup passent leur jeunesse à commettre des erreurs, à remettre à plus tard leurs devoirs, en se disant qu’ils répareront le mal qu’ils ont fait dans leurs vieux jours…


L’Islam nous a mis en garde contre at-tamannî, mot arabe qui peut avoir un sens péjoratif lorsqu’il traduit les fausses espérances auxquelles l’homme s’accroche pour donner un sens à sa vie. Au lieu d’affronter la réalité, il se projette dans des rêves de pouvoir, ou de voyages, ou de richesses accumulées, ou de liaisons amoureuses. Mais ses rêves n’ont aucune consistance. Les espoirs de l’homme qui, au contraire, est habité par la volonté de s’engager sincèrement, tournent autour de trois choses : le savoir, la foi, et les actions qui rapprochent de Dieu.


Il est grand temps de prendre conscience de nos responsabilités, et d’agir sans plus attendre.


Avant que la mort ne réveille chacun d’entre nous…

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La valeur du dhikr

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Dans son livre sur les hauts faits et qualités de l'Imam Ahmed Ibn Hanbal (l'un des 4 grands Imams de la Oummah), l'Imam Ibnou Al Jawzi dit :
Il avait fait un voyage, il fit la prière dans une mosquée et voulut y rester pour y passer la nuit.
Le gardien de la mosquée vint lui dire :
~ Il faut quitter la mosquée.
~ Mais mon frère, je n'ai où aller !
~ Tu dois sortir, c'est interdit de dormir d'y dormir.
~ Mais mon frère ...
~ Tu dois sortir !

Alors, l'Imam quitta la mosquée et se mit à regarder à droite et à gauche ne sachant pas où aller. Puis, il s'assit à l'extérieur de la mosquée, sur le seuil. Le gardien vint fermer la porte de la mosquée, et lorsqu'il vit l'Imam sur le seuil, il lui demanda de partir.

~ Mais mon frère, je n'ai où aller !
~ Ne reste pas ici, tu dois partir !

Il ne savait toujours pas que cet homme était l'Imam Ahmed Ibn Hanbal. Le gardien grossier empoigna le pied de l'Imam et le tira jusqu'au milieu de la route. L'Imam Ahmed Ibn Hanbal restait interloqué face à un tel comportement : C'est la première fois que quelq'un le traitait comme ça !
Il était là, à réfélchir où est-ce qu'il pouvait bien aller, puis il vit le local d'un boulanger en face de la mosquée. Le boulanger avait vu le Shaykh Imam au milieu de la rue, alors il l'appela :
~ Ô Shaykh, viens, tu peux dormir dans ma boulangerie.

L'Imam Ibn Hanbal entra dans la boulangerie et s'assit. Il remarqua que le boulanger n'arrêtait pas de dire les formules de Dhikr (: évocations d'ALLAH TA3ALA), en mélangeant la pâte, en confectionnant des boules, en les déposant déposant au four. Il répétait sans cesse : << Astaghfiru ALLAH, Sbhan ALLAH Wa BiHAMDIH, Sbhan ALLAH L3AZHIM, La Ilaha Illa ALLAH ... >>.
L'Imam lui demanda :
~ Depuis combien de temps fais-tu ainsi ?
~ Ainsi comment ?
~ Je parle du Dhikr que tu fais sans cesse ...
~ Ah, ça fait des années que je suis ainsi : au lieu de rester silencieux, je fais Dhikr !
~ Et tu n'es pas fatigué ?
~ Non, j'ai pris l'habitude !
~ Et quelle forme de bénédiction en as-tu trouvé dans ta vie pour évoquer ALLAH autant ?
(: est-ce que le fais d'évoquer ALLAH autant, de LE Vénérer et de LE Glorifier sans cesse, laisse des traces dans ta vie ?)
~ Chaque fois que j'ai demandé quelque chose à ALLAH, IL me l'a accordée !
~ Sbhan ALLAH ! Chaque fois que tu as demandé quelque chose à ALLAH, IL te l'a accordé !
~ Ah oui, je le jure ! Chaque fois que je LUI ai demandé quelque chose, IL me l'a accordé à part une seule que j'attends encore ...
~ Et qu'est-ce c'est comme demande ?
~ Je LUI ai demandé de m'accorder de voir Ahmed Ibn Hanbal !

Alors, l'Imam Ahmed Ibn Hanbal lui dit :
~ ALLAH vient de t'exaucer ! Je suis Ahmed Ibn Hanbal et on m'a trainé par les pied jusqu'à ta boulangerie.
(: En fait, ce sont tes invocations qui m'ont fait expulser de la mosquée ! )

Le boulanger était très content, il s'est occupé avec hospitalité de l'Imam Ahmed Ibn Hanbal ... }


[ tiré d'une conférence du Shaykh Mohammed Al 3Arifi ]


<< Astaghfiru ALLAH, wa Sbhan ALLAH, wa Al Hamdu LILLAHI, wa ALLAHU AKBAR, wa La Ilaha Illa ALLAH, wa La Hawla Wa La Qowwata Illa BiLLAH ... >>

Une Magnifique histoire qui donne des frissons, qui fait du bien à entendre et à savoir, une histoire avec une sagesse et un conseil qui vous seront bénéfique Bî Idhnî ALLAH TA3ALA !

Qu'ALLAH SBHANOU WA TA3ALA nous comptes parmi les pieux et les pieuses ! ALLAHUMMA AMÎN !

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