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Bébé Muslim, l'islam pour les enfants musulmans

Bébé Muslim, l'islam pour les enfants musulmans
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Test Coucou
14 mars 2016

Le test des 3 filtres

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Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passé sa vie à étudier le Coran et les paroles du Prophète et il était très pieux.


Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.


Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver :

_As-salamou alaykoum !

_Wa alaykoum as-salam wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

_Sais-tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ? poursuivit le voisin.

_Attends un peu, répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

_Des trois filtres ? s’étonna le voisin.

_Exactement, poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu comptes me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt ?

_Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. (En effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions).

_Commençons, dit le savant. Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ?

_Non, répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et…

_Bien, dit le savant. Donc, tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?

_Euh, non, au contraire…

_Ah, poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile ?

_Euh bien…non, pas vraiment.

_Alors, conclut le savant, si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, tu ne crois pas ? Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite. Alors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres ! Cela t’évitera certainement des péchés. Allah nous dit dans le Coran :


"Ô vous qui croyez ! Ne vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là. Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là. Ne vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux. Quel vilain mot que " perversion ", quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes." (Sourate 49, verset 11)


Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant. Depuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles, et en demandant à ceux qui voulaient lui raconter quelque chose :


_Attends un peu, ce que tu vas me dire, est-ce que c’est vrai ? est-ce que c’est bien ? est-ce que c’est utile ?.

 

Et c’est ainsi que cet homme, dont les gens avaient l’habitude de se méfier à cause de sa mauvaise langue, devint aimé et respecté de tous…

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14 mars 2016

Sabeth et la pomme

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Un homme nommé Sabeth marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse, et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de faire cela, et se blâme d'avoir mangé la moitié de cette pomme. A ce moment survient le jardinier, et Sabeth lui dit :
" Je vous demande pardon, pour la moitié que j'ai mangé ; tenez, je vous rends ce qui reste de la pomme. "


Le jardinier dit : " Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon. "
" Qui est le propriétaire alors ? " demanda Sabeth.


Le jardinier lui montre sa maison. Sabeth va le voir et lui raconte ce qui s'est passé.
Le propriétaire dit : " Je vous pardonne à une seule condition. Si vous l'acceptez vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui qui veille tout le temps et qui n'oublie rien. "


Sabeth se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.
" Quelle est cette condition ? " Demanda t-il.

- " Je veux vous donner ma fille en mariage." Répondit le propriétaire.

" Est ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement. "

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : " Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle ; sourde ; muette ; handicapé. " " Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher. Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pouvez bénéficier de mon pardon. "

Sabeth réfléchit longuement, la tête baissée. Puis dit : " Je l'épouserai. Et maintenant pardonnez moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant. "

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage. Le père de la fille dit : " Je vous ai préparé une chambre dans ma maison. "

Ensuite il introduit sa fille dans la chambre et Sabeth entre a son tour. Et il la voit assise, il lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam.
Son père avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapé. Or elle répond à son salut, puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapé.
Il lui dit : " Expliquez moi ! Je ne trouve rien en vous de ce que votre père m'avait raconté."

Elle lui répond : " Mon père ne vous a pas menti : "

" Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. "
[Et dis aux croyantes de baisser leurs regards [...]] ( Sourate 24. verset 31)

 

" Il vous a dit également que j'étais sourde et effectivement ; mes oreilles n'ont jamais entendu une médisance, ni une diffamation, ni une frivolité, ni une futilité. "
[Ceux qui ne donnent pas de faux témoignages; et qui, lorsqu'ils passent auprès d'une frivolité, s'en écartent noblement] ( Sourate25. verset 72)


" Il vous à dit que j'étais muette et effectivement ; Je n'ai jamais prononcé une parole susceptible de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de ma vocation de Dieu. "
[Ô vous qui croyez! Craignez Allah et parlez avec droiture. afin qu'Il améliore vos actions et vous pardonne vos péchés. Quiconque obéit à Allah et à Son messager obtient certes une grande réussite.] ( Sourate 33. verset 70-71)


Il vous a dit que j'étais handicapé et effectivement ; Je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes oeuvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité. "


Sabeth la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante.
Savez-vous quel fils Dieu leur a donné ? Il a donné naissance au grand imam, Abou hannifa.


La bonne terre fournit une bonne récolte par la permission de Dieu, et la terre ingrate ne donne que peu de récolte Cet exemple montre que l'Islam ne court pas après les apparences et la tromperie, mais s'attache aux valeurs, aux idéaux et à la moralité.

14 mars 2016

C'est l´histoire d´un petit élève en 3ème année

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C'est l´histoire d´un petit élève en 3ème année de l´école primaire, imaginez donc son âge ... ? Un jour, alors que l'enfant était en cours, son maître se mit à parler dela prière de Al-Fajr, de sa bienfaisance et de son importance en s'adressant de façon compréhensible pour des petits enfants. L'enfant, ayant écouté son maître, fut très touché par ses paroles.
Il n'avait en fait jamais fait la prière, ni lui ni sa propre famille.
Quand cet enfant fut de retour à la maison, il se mit à réfléchir à la façon à laquelle il allait pouvoir se réveiller pour la prière du lendemain ... Il ne trouva aucune solution si ce n'est de rester éveillé toute la nuit jusqu'à ce qu'arrive l'heure de la prière.

Et effectivement il resta éveillé toute la nuit, et lorsqu'il entendit Al-Adhan*, cette fleur ( le garçon ) se prépara pour y aller mais un autre problème se présenta à lui ... La mosquée était très loin et il ne pouvait s'y rendre seul. L'enfant pleura et s'assit devant la porte ... Soudain il entendit un bruit venant de la rue, ouvrit la porte, sortit et vit un vieil homme marcher en direction de la Mosquée.
Il le reconnut, oui il le reconnut, c'était bien le grand père de Ahmed, leur voisin. L'enfant en profita alors pour suivre le vieil homme en cachette afin que celui-ci n'aille pas le rapporter à sa famille qui ne manquerait pas de le punir ensuite. Depuis ce jour, l'enfant faisait tout le temps la même chose pour pouvoir aller prier...Mais comme toute chose, il y eut une fin à cela.
Le vieil homme (le grand père d'Ahmed) mourut...
L´enfant pleura et pleura fortement dès que la nouvelle lui vint. Son père s'étonna que la perte de ce viel homme puisse faire autant de mal à son fils,
il lui demanda alors:

« Oh mon fils, pourquoi le pleures-tu de cette façon alors que ce n'était pas un enfant de ton âge avec qui tu jouais, ni un proche à toi pour qu'il puisse te manquer à la maison? ».

Le petit enfant regarda tristement son père avec des yeux larmoyanst. Le père fut choqué et se demanda pourquoi son fils était triste de cette façon
et pourquoi il aimait tant ce vieil homme.
Le petit enfant dit : « Il ne me manque pas pour les raisons que tu viens de citer.»

Le père fut étonné une fois de plus et demanda à son fils: « Quelle est la raison alors ? »

Le petit enfant répondit : « Pour la prière ... Oui pour la prière ... »
Il continua avec ces paroles : « Papa, pourquoi ne prie-tu pas Al-Fajr ? Papa, pourquoi n'es-tu pas comme le grand père d'Ahmed et
comme tous les autres hommes que j'ai vus ? »

Le père lui demanda: « Où les as-tu vus ? ».

L´enfant répodit : « A la mosquée. »
Le père lui dit : «Comment ça? ».

Le petit garçon lui raconta alors son histoire. Celle-ci bouleversa le père et le fit pleurer très longtemps. Il serra son petit enfant fort dans ses bras et depuis ce jour il ne rata plus jamais aucune prière à la mosquée.

14 mars 2016

L'homme qui se plaignait de la pauvreté

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Un jour, un homme est venu se plaindre auprès d'un cheikh de son extrême pauvreté. Le pauvre homme lui raconta combien il était dans une grande détresse et à quel point il préférerait la mort à une telle vie.


Ce pauvre homme acceptait mal sa situation et semblait être prêt à accepter n'importe quoi pour rémedier à ce grand problème.


Le cheikh : « Voudrais-tu échanger tes yeux contre cent mille euros? »
Le pauvre : « Certainement pas. Et que ferais-tu de mes yeux de toute façon ? »
Le cheikh : « Cela ne te regarde en rien ! Tu as besoin d'argent alors je te propose : accepte ou refuse mais épargne moi tes questions ! Voudrais-tu échanger ta langue contre cent mille euros ? »
Le pauvre : « Naturellement pas. »
Le cheikh : « Serais-tu d'accord d'avoir tes mains et pieds coupés en échange de cent mille euros. »
Le pauvre : « Non plus ! »
Le cheikh : « Serais-tu prêt à perdre l'esprit en échange de cent mille euros ? »
Le pauvre : « Je refuserais, c'est évident ! Qui accepterait !? »
Le cheikh : « Je te propose alors cent mille euros pour tes oreilles, ça te dit ? »
Le pauvre : « Je ne vois aucune pertinence dans tes questions, cela n'a aucun sens! Une chose est certaine : je n'échangerai tout cela pour rien au monde ! »


À ceci, le cheikh répondit :
« N'as-tu pas honte de toi-même ? Tu admets qu'Allah t'a accordé tant de cadeaux précieux, dont la valeur selon ta propre évaluation, excède cinq cent mille euros et tu oses te plaindre de la pauvreté ! »

14 mars 2016

L'étranger malveillant

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Quelques mois avant ma naissance , mon père rencontra un étranger qui était nouveau dans notre petite ville. Au début , Papa était fasciné par ce charmant nouveau venu et l'invita bientôt à vivre dans notre famille. 

L'étranger a rapidement accepté et était parmi ceux qui m'ont accueillie à ma naissance (ou à ma venue au monde) quelques mois plus tard . En grandissant je n'ai jamais contesté sa place dans notre famille.

Dans mon jeune esprit chaque membre avait une place spéciale.

Youssouf, 5 ans mon aîné était mon modèle, Samia, ma petite soeur m'a donné l'occasion de jouer au grand frère et de développer l'art de taquiner. Mes parents étaient des éducateurs complémentaires.

Maman m' enseigna à aimer Allah et mon père, la manière de Lui obéir. Mais l'étranger était notre compteur d'histoires. Il pouvait tisser les histoires les plus fascinantes. Des aventures, mystères et comédies étaient nos conversation quotidiennes. Il pouvait tenir en haleine toute notre famille pendant des heures chaque soir.

Si je voulais connaître la politique, l'histoire ou la science, il savait tout. Il connaissait le passé et semblait comprendre le présent. Les images qu'il dessinait, étaient si réelles que pouvait en rire ou pleurer, quand jeles regardais. Il semblait être l'ami de toute la famille .

Il nous encourageait toujours à regarder les films et même s'arrangeait pour nous présenter plusieurs personnages célèbres.

C'était un orateur infatigable. Papa ne faisait pas attention maisquelquefois maman se levait tranquillement pendant que nous étions pris par une des histoires venues de loin, et allait dans sa chambre lire le Coran .

Je me demande si elle n'a jamais prié pour que l'étranger parte. Tu vois, mon père dirigeait sa famille avec certains principes moraux. Mais l'étranger ne s'est jamais senti obligé de les respecter.

Par exemple le blasphème nous était interdit de la part de nos amis et des adultes. Mais notre visiteur d'entant avait l'habitude d'utiliser des mots qui me brûlaient les oreilles et donner des convulsions à (énervait) papa.

A ma connaissance n'a jamais été affronté. Mon papa ne buvait pas et n'a pas permis l'alcool à la maison même pour cuisiner.

Mais l'étranger avait envie de nous exposer et de nous montrer d'autres manières de vivre. Il nous montrait la bière et d'autres boissons alcoolisées, il nous montrait aussi que les cigarettes étaient cool , les cigares et les pipes distinguées. Il parlait trop librement des femmes, ses
commentaires étaient quelquefois flagrants, quelquefois suggestifs et même embarrassants.

Je sais maintenant que ma 1ère conception de la relation homme - femme était influencée par l'étranger. Quand je regarde en arrière, je crois que par la Miséricorde d'Allah que l'étranger ne nous a pas plus influencé. Il s'opposait aux valeurs de mes parents. Il était rarement grondé et on lui a jamais demandé de partir. Plus de 30 ans après l'étranger se déplaçait avec la jeune famille...

Il n'intéressait plus autant mon père comme au début. Mais si j'entrait dans la chambre de mes parents aujourd'hui, vous le verriez toujours assis dans un coin, attendant que quelqu'un l'écoute parler et regarder ses images.

Son nom vous me demanderez ?


Nous l'appelions télévision.

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14 mars 2016

Les 2 frères

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Il y avait 2 frères qui vivaient dans la même maison, l'un à l'étage et l'autre au rez de chaussée.


Celui du bas vivait dans la crainte de Dieu, et ne commettait pas de péchés. Contrairement a celui de haut, qui vivait dans la luxure et la débauche.
Son argent venait du Haram, et il était très riche.
Celui du bas priait nuit et jour pour qu'Allah guide son frère. Jusqu'au jour où un ami, lui dit:
"Pourquoi pries-tu?"

Il répondit: " pour mon frère".

"Et Alors, a-t-il changé par tes prières?" continua son ami.


"Non, il n'a jamais changé".

Cette discussion le fit réfléchir, et il se dit que ses prières ne servaient a rien.
"J'ai rien gagné, mon frère vit dans le luxe et s'amuse, moi aussi je vais me mettre dans le business et m'éclater !"


Au même moment, le frère du haut, se dit : "J'en ai marre d'être toujours bourré, de sentir mauvais, d'avoir de l'argent sale, je vais désormais faire comme mon frère, car la vie que je mène, c'est pas une bonne vie."


Le frère du bas montât voir son frère qui lui descendit pour la même raison.
Les deux frères dans les escaliers rencontrèrent Azrail, l'Ange de la mort. Il prit leur âmes.


Dieu nous juge par nos intentions. Il y a des gens qui font le bien toute leur vie, et avant de mourir, il font une chose qui les met en enfer. Par contre, il y a des gens qui font des mauvaises actions toute leur vie, et avant de mourir il font une chose qui les met au Paradis. Sobhan'Allah!

14 mars 2016

Les coiffeurs existent-ils?

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Un homme va chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux et la barbe comme d'habitude. Il commence une bonne conversation avec le barbier qui l'attendait. Ils parlent de divers sujets. Soudain, ils touchent le sujet de Dieu.


Le barbier dit: "Écoutez monsieur, je ne crois pas en l'existence de Dieu comme vous le dites."
"Pourquoi ?" demande le client.
"Et bien, c'est très facile, vous n'avez qu'à sortir dans la rue pour réaliser que Dieu n'existe pas, s'exclame le barbier. Oh, dite moi, si Dieu existait, y aurait-il tant de personnes malades, y aurait-il des enfants abandonnés ? Si Dieu existait, il n'y aurait pas de souffrances ni de peines. Je ne peux pas croire à un Dieu qui permet toutes ces choses." 


Le client arrêta un moment pour penser mais il ne voulait pas répondre afin d'empêcher d'autres arguments. Le barbier finit son travail et le client sortit.
Juste après avoir quitté le coiffeur, il vit un homme dans la rue avec de long cheveux et une longue barbe (il semblait qu'il y avait longtemps qu'il
n'avait pas été chez le coiffeur et il avait l'air hirsute).

Alors le client retourna chez le coiffeur et dit au barbier : "Vous savez quoi ? Les coiffeurs n'existent pas."
"Comment ça ils n'existent pas?" répondit le barbier. Et bien, je suis là et je suis un barbier."
"Non!" s'exclama le client. "Ils n'existent pas, parce que si ils existaient il n'y aurait pas de personnes avec de longs cheveux et de longues barbes comme cet homme qui marche dans la rue."
"Ah, les barbiers existent, ce qui ce passe c'est que les gens ne viennent pas chez moi." répondit le barbier.
"Exactement !" affirma le client. Dieu existe, ce qui ce passe c'est que les gens ne vont pas vers Lui et ne Le cherche pas, c'est pourquoi il y a tant de peines et de souffrances dans le monde. Si les gens revenaient à Lui, Il apaiserait leurs peines."

14 mars 2016

Les 3 questions

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C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années.

De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.


Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?


Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah (si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.


Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement.


Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).


Jeune homme: J'ai 3 questions:
1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme.
2. Qu'est- ce que le takdir (destiné) ?
3. Si le chaitan (Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu. Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ?


Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.


Jeune homme (douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi ?


Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.


Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.


Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?


Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr.


Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?


Jeune homme: Oui.


Savant: Montre moi la forme de la douleur !


Jeune homme: Je ne peux pas.


Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme. La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?


Jeune homme: Non.


Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?


Jeune homme: Non.


Savant: C'est ce que le takdir (destiné).


Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?


Jeune homme: Elle a été créé de peau.


Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?


Jeune homme: De peau.


Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?


Jeune homme: Douloureux.


Savant: Même si chaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insha-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan.

14 mars 2016

Le vieil homme qui cherchait sa place

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Un jour, dans une gare, alors que le train s'apprêter à partir, après que tous les voyageurs eurent gagnés leurs places, un Vieil homme réussi au dernier moment à monter juste avant la fermeture des portes.

Sur son visage éclatant apparaissait une grande sagesse et une bonté infinie bordé de clémence et de tendresse.
Ce vieil homme heureux d'avoir pu rattraper le train cherchait maintenant une place pour s'asseoir.

Dans la première cabine, il trouva des jeunes enfants qui certes étaient très heureux de le voir car il avait une bonne tête comme ils disent, mais quand il leur demanda s'il pouvait s'asseoir avec eux, ils lui répondirent :

"Nous serions heureux de vous accueillir parmi nous mais vous savez, nous sommes des enfants et nous ne pensons qu'à jouer et s'amuser, on craint que nos cris et nos rires ne vous dérangent, mais allez à la prochaine cabine, nous sommes sur que vous trouverez une bonne compagnie"



Alors le vieil homme suivie le conseil des enfants et alla à la prochaine cabine, où il trouva trois jeunes hommes. Sûrement des étudiants en train de préparer leurs examens, car ils ne parlaient que de fonctions et de graphes tout en tenant leurs calculatrices dernier cris dans la main.
Il les salua et leur demanda la permission de prendre le siège vide.

Les jeunes été très contents de le voir car il leur rappelait leurs grand-père et comme ils disent, il avait l'air d'être cool et sympathique, mais ils répondirent :

"Ô, vieil homme nous aurions été heureux de partager avec toi notre cabine mais comme vous le voyez nous sommes en pleine révision et nous craignons que nos longues discussions de math et de physique ne vous ennuie, allez plutôt voir à la prochaine cabine nous sommes sur que vous y trouverez une bonne place"



De ce pas, le vieil homme alla à la prochaine cabine. Il y trouva un jeune couple ce tenant par la main et s'échangeant des regards complices.
Le vieil homme les salua et leur demanda s'il pouvait prendre l'un des deux sièges libre de leur cabine, ils lui répondirent :

"Ô, vieil homme nous aurions été ravi de faire le voyage avec vous mais comme vous le voyez nous sommes un jeune couple qui vient de se marier et nous sommes en lune de miel et nous préférons restez tranquille, mais je suis sur que vous trouverez une bonne place dans la cabine suivante"



Le vieil homme continua donc son périple jusqu'à la prochaine cabine ou il trouva un groupe d'hommes d'une trentaine d'années, téléphone à la main et ordinateur portable sur les genoux échangeant entre eux les dernières cotations boursières.
Il les salua et demanda si il pouvait se joindre à eux mais ils lui répondirent :

"Nous serions heureux de profiter de ta compagnie et de ta sagesse mais nous sommes trop occupés à gérer nos actions et nos projets et parfois nos voix s'élèvent et nous ne voudrions pas vous déranger ; allez plutôt voir la cabine d'à coté, ils nous semblent avoir vu des gens sympathique tout comme vous"



Alors le vieil homme alla vers cette cabine et là effectivement il vit une famille fort sympathique, composée du papa, de la maman et de leurs deux enfants. Il les salua et leur demanda s'il pouvait faire le reste du voyage avec eux et là ils lui répondirent :

"Quel honneur et quelle chance nous avons de pouvoir partager notre cabine avec un sage comme vous, bien sur, venez vous asseoir près de nous, nous sommes sur que vous avez plein de chose à nous apprendre"

 

Et là le père demanda à ses enfants :

"Lève toi mon fils Ahmad s'il te plait et va sur les genoux de ta chère maman, et toi ma petite Wafa viens sur mes genoux pour laisser la place à ce brave homme"



Et là le vieil homme pu enfin s'asseoir et partager un agréable moment avec cette famille.
Cette famille profita donc de la précieuse compagnie de ce vieil homme et de ces connaissances pour lui demander de les aider à comprendre les choses de la vie et répondre à toutes leurs interrogations sur leur appartenance et sur leur destinée.
Ainsi que toutes les questions existentielles que peut se poser un être humain aujourd'hui .

Grâce à sa grande sagesse il pu apporter une réponse convaincante à chacune de leurs interrogations et les rassurer sur leur avenir et l'avenir de leurs enfants en leur garantissant que si ils suivaient tous ses conseils, ils seraient à jamais une famille comblée et heureuse.

Le train arriva à l'heure à son terminus. La gare était noire de monde avec des décorations partout et des gardes en uniforme dans tous les coins. Le sol était tapissé jusqu'à l'horizon d'un tapis d'une valeur inestimable et les murs recouverts de pierres précieuses et tissus de grande valeur.

Les voyageurs n'en revenaient pas, ils croyaient rêver mais c'était bien la réalité.

A ce moment là un des officiers monta à bord du train, et ordonna à tout le monde de ne pas bouger.
Il se mit à chercher dans toutes les cabines le vieil homme, et bien sur il le trouva dans celle de la famille qui l'avait si bien accueilli.

Et l'officier dit :

"Ô vieil homme, le Maître m'envoie te chercher pour te ramener près de lui"



Les passagers restèrent ébahis par ce qu'il voyaient. Ils se demandaient : tout ça pour ce vieil homme ?? Mais qui est-il donc ?

Et le vieil homme répondit :

"Comme je te l'ai promis cher garde, le voyage est fini et je te suis avec plaisir mais à condition que cette famille qui m'a accepté viennent avec nous"



et l'officier répondit :

"Oui Ô brave homme ! de grandes récompenses vous attendent, vous et tous ceux qui vous ont suivi"



Le vieil homme et la famille se levèrent donc, et descendirent du train pour monter dans une voiture luxueuse qui les emmena vers un avenir prometteur pendant que les passagers qui avaient refusé la compagnie du vieil homme se mordaient les doigts en disant : pourquoi n'avons-nous pas accepté cette homme ; pourquoi avons-nous été si égoïste!!

Malheureusement il était trop tard.

Vous l'avez sans doute compris, le vieil homme n'était en réalité que la religion de Dieu, qu'Il a envoyé pour nous accompagner durant ce voyage nommé dounia (la vie).

Il ne tient qu'à nous de l'accepter durant notre voyage afin que la religion soit notre salut le jour où notre voyage sur terre se terminera, et témoignera pour nous que nous l'avons suivis...

14 mars 2016

L'effet bénéfique du Coran

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Un vieil homme musulman vivait dans une ferme dans les montagnes avec son petit fils.

Chaque matin, son grand-père se réveillait tôt pour lire le Coran. Son petit fils voulait devenir comme son grand-père, et essaya de l'imiter dans tous ses gestes. Un jour, son petit fils lui demanda : « Grand père ! J'ai essayé de lire le Coran comme toi, mais je n'arrive pas à comprendre le sens des ayat. Et lorsque je comprends parfois, j'oublie aussitôt que je ferme le livre. Qu'est ce qu'il y a de bien à le Coran ? »

 

Le grand-père silencieux s'arrêta de mettre du charbon dans la corbeille en osier.

Il demanda à son petit fils : « Prends cette corbeille jusqu'à la rivière et ramène là moi remplie d'eau ».

 

Le garçon fit comme son grand-père lui demanda. Il remplit la corbeille, mais celle-ci se vida avant qu'il ne revienne à la maison.

Le grand père rit et dit : « Tu devrais être plus rapide la prochaine fois ».

 

Il renvoya son petit fils avec la corbeille pour essayer une nouvelle fois. Cette fois-ci le jeune garçon courut, mais la corbeille se vida encore avant de retourner à la maison.

 

Essoufflé, il dit à son grand-père qu'il était impossible de rapporter de l'eau dans une corbeille, et qu'il allait prendre un seau à sa place.

Le grand-père lui dit : « Je ne veux pas de l'eau dans un seau, mais dans une corbeille, c'est juste qu'il faut re-essayer encore ». Et l'enfant parti retenter sa chance. Le jeune garçon plongea encore la corbeille dans la rivière, couru, mais quand il arriva à la maison, la corbeille était encore vide.

Essoufflé il dit à son grand-père : « T'as vu grand-père, c'est inutile! »

 

Le vieil homme regarda son petit fils et lui dit : « Regarde la corbeille ».

Le jeune garçon regarda la corbeille et pour la première fois il réalisa qu'elle était différente.

D'une corbeille sale et poussiéreuse, toute noire de charbon, elle s'était transformée en une belle corbeille toute propre.

 

« Mon fils, c'est la même chose quand tu lis le Coran. Il se peut que tu ne comprennes pas ou que tu ne te rappelles pas de tout ce que tu lis, mais quand tu lis le Coran, c'est ton cœur qui se nettoie de tous les péchés qui l'ont noirci. »

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